Croix, 12 octobre 2022 – Dans le contexte économique de cette fin d’année, Oney, expert du
paiement et du financement de la consommation et leader du paiement fractionné dans
plusieurs pays européens, a interrogé un échantillon représentatif de la population nationale
française et européenne (France, Espagne, Portugal) en partenariat avec Harris Interactive.
Cette étude révèle les incertitudes communes des Français et Européens qui les amènent à
revoir leurs dépenses à la baisse pour cette fin d’année 2022. Le paiement fractionné (BNPL),
qui n’a cessé de progresser au cours des dernières années, s’impose aujourd’hui comme une
solution incontournable pour soutenir la consommation des Français.

  • 1 consommateur sur 5 s’attend à dépenser plus dans les prochains mois.
  • 44% des Français procèderont à des arbitrages sur les dépenses alimentaires et 27% sur les frais de santé.
  • Près d’un consommateur sur trois se tournera vers des solutions de financement pour des achats importants.
  • 39% des Européens envisagent de payer en plusieurs fois d’ici la fin de l’année.
  • Près de 50% des utilisateurs du paiement fractionné n’auraient pas acheté s’ils n’avaient pas pu utiliser cette facilité de paiement.

D’ici la fin 2022, 44% des Français envisagent de diminuer leurs dépenses alimentaires et 27% envisagent de diminuer leur budget dédié à la santé

Le Baromètre Oney & Harris Interactive révèle une forte volonté des Européens de limiter leurs
achats, notamment des dépenses dites contraintes, dont les prix ont connu une forte progression au cours des derniers mois
. En début d’année, un premier sondage avait révélé que 44% des Européens comptaient adopter un comportement économe en 2022, des prévisions qui sont aujourd’hui vérifiées.
Deux Européens sur trois déclarent aujourd’hui qu’ils prévoient de réduire leurs dépenses liées aux frais
d’énergie. Une flambée des prix à laquelle les Français se sentent vraisemblablement moins exposés
que leurs voisins européens, puisque 53% d’entre eux indiquent qu’ils tenteront de diminuer leurs frais dans ce domaine d’ici la fin de l’année, contre 64% des Espagnols et 73% des Portugais.

Dans le même temps, plus de la moitié des Européens déclarent qu’ils chercheront à réduire certaines de leurs dépenses dites « plaisir » (vêtements, décoration, sorties culturelles, voyages) ou d’équipements électroniques et électroménagers dans les prochains mois, là encore symptomatiques d’un sentiment de limitation à venir.

L’alimentation et la santé sont également concernés puisque près de la moitié des Français (44%) déclarent qu’ils chercheront à diminuer leurs dépenses dans l’alimentaire et près de 30% comptent réduire leurs frais de santé sur la fin de l’année. Ils sont encore plus nombreux (plus de 33%) chez les Portugais et les Italiens à vouloir réduire ce type de dépenses.
C’est pourquoi les Européens, sans rogner de manière significative sur l’ensemble de leurs dépenses,
adaptent leur consommation, pour acheter autrement et équilibrer leur budget dans un contexte d’augmentation des prix et de forte tension sur leur pouvoir d’achat. Début 2022, plus d’un tiers des Européens (38%) pensaient d’ailleurs que leur pouvoir d’achat serait plus faible que l’an dernier et 75% déclaraient qu’ils allaient être plus attentifs à leur budget en 2022 qu’en 2021.

Financer sa consommation est désormais un principe bien ancré chez les Français

En cette rentrée 2022, plus de la moitié des Français indique avoir déjà eu recours à des solutions pour financer certains achats (51%), et plus d’un quart en ont souscrit plusieurs fois (27%). Ils sont juste derrière les Portugais pour qui la pratique semble encore plus ancrée, puisque deux tiers d’entre eux déclarent y avoir déjà souscrit.
Concernant la typologie d’achats, on constate, tous pays confondus, que le recours aux crédits à la consommation se fait essentiellement pour des achats uniques et ponctuels (81% des Européens) et concerne avant tout des biens relativement onéreux comme l’achat d’un véhicule (44%), de matériel informatique (32%) ou de mobilier (23%).
Utiliser des solutions pour financer ses achats est donc aujourd’hui bien ancré dans les usages des Européens et ceux qui n’envisagent pas d’utiliser de crédit à la consommation dans les prochains mois
justifient ce choix par des taux d’emprunt trop importants (35%) ainsi qu’une peur du surendettement (30%) ou encore l’absence de nécessité de faire un crédit (30%). La créance envers les organismes de crédit n’est pas remise en question puisque 84% d’entre eux déclarent qu’ils leur font confiance.

Le paiement fractionné envisagé par près de la moitié des Français

C’est pourquoi, et parmi les différentes solutions de financement, on observe que le recours au paiement fractionné est celle qui remporte le plus d’adhésion.
En effet, lorsqu’on les interroge sur leurs prévisions pour la fin d’année, près de la moitié des Français
(44%) déclare vouloir se tourner vers ce mode de paiement, loin devant le recours au crédit à la consommation (18%). On retrouve cette tendance dans l’ensemble des pays sondés avec 37% des
Portugais et 35% des Espagnols.

Les Européens comptent utiliser le paiement en plusieurs fois majoritairement pour des achats liés aux
produits informatiques, high-techs et électroménagers. Par exemple, 44% des Français qui projettent
d’utiliser le paiement en plusieurs fois déclarent avoir l’intention d’y avoir recours avant tout dans cet
univers de consommation, devant les meubles et la décoration (27%) ou encore les voyages (21%).
Si le paiement fractionné apparait désormais comme un incontournable pour les Français, il est également un critère de choix du lieu de consommation pour plus d’un tiers d’entre eux (34%), qui indique choisir en priorité les enseignes proposant ce type de financement. Aujourd‘hui, près de la moitié des Français (49%) déclarent même qu’ils n’auraient pas acheté dans une enseigne si elle n’avait pas proposé le paiement fractionné. Cette tendance se retrouve chez les trois pays sondés.

Méthodologie :
Enquête Harris Interactive pour Oney, réalisée en ligne auprès trois échantillons représentatifs de la population nationale de chaque pays âgée d’au moins 18 ans, interrogés du 6 au 9 septembre 2022 pour la France et du 9 au 14 septembre 2022 pour l’Espagne et le Portugal. Méthode des quotas et redressement appliquées aux variables suivantes : sexe, âge, niveau de revenu et région d’habitation de l’interviewé(e).

A propos de Oney
Oney est une banque différente, unique, issue du commerce. Partenaire de la transformation du commerce depuis presque 40 ans, Oney conçoit des solutions de paiement, de financement et d’assurances innovantes afin de donner à chacun le pouvoir d’améliorer son quotidien et de mieux consommer. Créateur du paiement fractionné en 2008, Oney est leader sur le marché du BNPL (Buy Now Pay Later) dans plusieurs pays européens. Aux côtés de 4 400 partenaires commerçants et e-commerçants dans près de 16 000 points de vente physiques ou virtuels, Oney accompagne la réalisation des projets de plus de 7,8 millions de clients en Europe en leur proposant des expériences d’achats digitales, simples et rapides. Chaque jour, nos 2 600 talents, dans 12 pays, animent l’ambition d’être une banque plus humaine et responsable. Avec le soutien de ses deux actionnaires, BPCE (50,1%) et de Elo (ex-Auchan Holding à 49,9%), Oney réunit le meilleur de la banque et du commerce. Au sein du Groupe BPCE, Oney évolue au sein de BPCE Digital & Payments, nouveau pôle regroupant les expertises paiement, digital et data.